Insécurité dans le quartier : des réponses attendues

Plusieurs phénomènes inquiétant pour la sécurité et le bien-vivre dans le quartier s’accentuent depuis ces derniers mois.

  • Le trafic de drogue : Nous avons alerté oralement depuis le repas de quartier M. Arsac, maire de quartier, par rapport au trafic de stupéfiants qui se développe route de Blagnac, et contre lequel des habitants nous alertent en permanence. Ce trafic rend leur vie quotidienne très difficile. Les lieux de trafic sont multiples.
  • Ex : rue Marcou Debax, rue Edmond Guyaux, rue des Troènes, entre la rue du Soleil d’or et la rue Louis Herold.

Pour lutter contre l’expansion de ce trafic, nous ne constatons pas à l’heure actuelle une augmentation de la surveillance policière, que nous demandons.

Nous avons adressé, conjointement avec l’association Agir aux Sept Deniers, un courrier le 29 octobre 2019 à M. le Préfet de la Haute-Garonne Etienne Guyot, lui demandant de mettre tout en oeuvre pour arrêter les trafiquants et les agresseurs. Et stopper ainsi cette évolution aussi vite que possible.

  • Les cambriolages : de très nombreux cambriolages ont eu lieu dans le quartier ces derniers mois. Nous n’avons pas la totalité des plaintes mais celles qui nous sont remontées par les habitants sont très conséquentes : vol de voiture chemin Garric, vols dans les maisons, etc.
  • Agression : deux personnes, dont un habitant du quartier, ont été sauvagement agressées dans la nuit du 12 au 13 octobre 2019 par une bande non identifiée à ce jour (une enquête est en cours). Cette agression très violente est intolérable et incompréhensible.

Nous avons également alerté M. Arsac sur ce sujet. Selon lui, les vols, les trafics de drogues, et les agressions relèvent de la Police nationale. C’est la raison pour laquelle nous allons demander officiellement à recevoir la convention signée dernièrement entre la Police nationale et la Police municipale. Nous craignons, par l’évolution de cette situation, que notre quartier, dans lequel il fait bon vivre, soit plongé dans l’insécurité faute de moyens.

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